Pour sa série de photographies intitulée « Memory Lapses », le photographe François Ollivier souhaitait revisiter des lieux chargés d’histoire personnelle et liés à des souvenirs proches comme éloignés. Il explique qu’en « surexposant le matériau réfléchissant dans le processus, les données deviennent absentes du fichier numérique, créant une zone vide dans l’image qui altère la réalité et déforme notre perception ». Au même titre que le temps et la distance.