Industrial Facility’s Dryerhair

oh la fausse bonne idée, vous avez deja essayer de rentrer un fil d’alim en spirale dans un tube rapidement ? c’est super long….
joli en photo, enfer en vrai = mauvais design.

Fubiz bravo, quelle selection…

ça tombe bien je cherchais une matraque pour Prof Z !!!

MERCI ! Enfin quelqu’un qui réagit !

Je trouve que l’idée est stylée, tu peux t’en servir comme aspirateur et tout. Multifonctions quoi.

Ils auraient pu faire un truc plus chouette avec un simple enrouleur de fil comme sur les aspirateurs mais en plus petit….bon, ils ont déjà compris que le fil qui traine c’est chiant, mais ça, tout le monde l’a compris, donc……c’est nul!!!

Quelle sélection de merde … minimum 15 jours de retard sur les news … jamais de sources et tout repompé à droite à gauche … (maintenant que le site fait de l’audience, on peut se foutre de la gueule des lecteurs)

je me casse définitivement !!!

@ Nounours, Ma: ça existe déjà la rétraction automatique du câble d’alim sur les sèche-cheveux. Ils font ça chez Babyliss, bon maintenant le sèche-cheveux en question est moche et lourd mais y’a de l’idée…

Je dirais que l’ergonomie est médiocre.
après je ne l’ai pas tenu en main l’engin donc sans doute me plantai-je, mais je crains quand même que ce ne soit pas le sèche cheveu le plus agréable de la planète.
Pour ce qui est du fil, je ne suis pas convaincu également que ce soit l’idée du siècle.
Un petit système type rouleur de cable d’aspirtateur serait bien plus pratique à mon sens.
le design quant à lui est simple, voire simpliste.
Ma conclusion (momentanée) sauf arguments béton d’un ergonome ou technicien designer est que c’est un faux bel objet pratique.

et ça y est il est reparti…

Et un article de plus souillé par le difficilement supportable Prof Z que je met au défi de formuler des commentaires uniques de moins de 200 mots> ou bien alors de ne pas se fatiguer à donner son avi puisque personne ne lit des tartines de baratin.

Pour ce qui est du produit à première vue c’est étonnant et finalement c’est tout sauf du design pensé: typiquement un produit déco! Une bonne base de recherche cependant.

D’accord je crois que je comprend votre logique. Ceci dit, meme si les listes sont quelques peu arbitraires, etre dans ce genre de liste a a peine 20 ans en partant de rien, n’est ce pas le gage d’un bon engagement? Surtout etre dans cette liste en ayant pas grand chose a voir avec les americains?
Je parle d’Inès Lebihan listee entrepreuneur influent en 2010.

OSEF qu’il soit beau ou moche, c’est un objet pas pratique qui est par definition opposé au principe de design qui lui fait entrer en jeu une notion d’utilisateur et d’ergonomie. Enfin le look extérieur inspire et c’est bien l’essentiel.
Après bien entendu pas besoin de disserter 3 heures.> Suivez mon regard ;)

Je le trouve plutot pas mal ce seiche cheveux…reste a voir a l’usage effectivement.
Par contre, certe « rapidement » c’est sans doute pas pratique…mais si les gens apprenaient a vivre…vivre…

Juste vivre…je veux dire, pourquoi se dépecher de faire les choses ?…pour faire rapidement a la suite autre chose d’autant inutile ? ou plus inutile encore ?

Donc je penses qu’au pire, ca prendre 1min, 1min30 pour remettre le fil dans le receptacle…et après ?
Bref, bcp de blah blah pour un seche cheveux :D

D’un coup c’est tellement plus claire!

Je vous invite à regarder un travail d’un étudiant pour un sèche cheveu, beaucoup plus intéressant que celui la qui n’apporte pas grand chose.

http://3.bp.blogspot.com/_4erBrczbjK8/TEcf8GCxP8I/AAAAAAAAAGU/G6XiHpgmlxA/s1600/Bartha+S%C3%A1ndor+portfoli%C3%B3-11.jpg

Même avis

C’est une vision subjective d’une des composantes de l’humour (dissociation sémantique), surement adaptée du model de Goldstein de 1972 (« A two-stage model for the appreciation of jokes and cartoons.  » New York Press, 1972) et remixée sauce télé post-structuraliste.
L’humour est un phénomène largement incompris par les neurosciences, mais qui découlerait selon ce modèle d’une incongruence entre une prédiction et une résolution inattendue, et non pas un changement de système de référence. En effet un changement de référentiel sémantique impliquerait la nécéssité d’une association d’ordre sémantique lors de la prédiction pour pouvoir créer de l’inattendu. Or il existe de l’humour qui se passe du langage, qui se passe de finesse, par exemple face à la douleur, ou à l’humiliation de toutes sortes; ou face à des images effrayantes etc.
De plus ce modèle est très ancien, et même si les changements de paradigmes ne sont pas si fréquent en neurosciences, celui la risque de changer à la lumière des nouvelles études en imagerie fonctionnelle, montrant une implications presque exclusive des régions de l’attention et du décodage de l’intention lors de la compréhension des évènements humoristiques. (Bartolo A et al., 2006)

De plus la « pensée latérale » est certes une réalité, mais une réalité qui a d’autres noms, comme l’inspiration, ou l’enseignement. Qui consiste tous deux, en effet, à enrichir le champ des éléments connus et à créer de nouveaux espaces d’associations; mais sans porter la consonance tragique de « pensée latérale », au gout de « je regarde sur la copie de mon voisin ».
En art, aujourd’hui plus que jamais, chaque œuvre pourrait être décomposée en un patchwork historique de flux de concepts et d’idées, qui auront lentement construit une vision, un pressentiment chez l’artiste, et qui fusionnent et éclatent à un instant précis, pour permettre à l’œuvre d’émerger.

Il n’y a pas de création pure, il n’y a pas d’idée orpheline.
Il est temps de se réveiller.