En observant le travail de Benjamin Benhaim de près, le bois semble taillé à la perfection, à tel point que l’illusion pourrait fonctionner. C’est pourtant un travail virtuel que l’artiste nous propose à la vue. En effet, à l’aide de logiciels spécialisés et en s’inspirant du projet PolyWood de Mat Szulik, il met en scène des animaux sauvages (loups, cerfs, ours, girafes) dans un plaidoyer en faveur de la vie sauvage. Un projet intitulé We Are Wild à découvrir ci-dessous.