Nous sommes de grands êtres paranoïaques, effrayés de n’avoir pas vécu notre présent comme il méritait de l’être. Ainsi cet homme cloué à son fauteuil observe, s’observe, sa vie qui défile sur des écrans entassés. Est-ce sa vie, ou celle qu’il s’est imaginée ? Et cette différence a-t-elle encore un sens ?