Passionné par l’histoire ancienne, l’artiste Jim Bachor se porte un jour volontaire pour travailler sur une fouille archéologique à Pompéi. C’est alors qu’il décide de faire fusionner son art et son goût du monde antique à travers un matériau solide et durable : La mosaïque. Désormais, l’artiste investit les rues des Etats-Unis à la recherche de nids-de-poule. Son but? Combler ces horribles trous qui déforment la chaussée en les remplaçant par ses oeuvres, qui « parlent de choses modernes avec une voix ancienne ».

Crédits photo : This is Colossal

Venant d’installer cinq nouvelles mosaïques à New-York dans le cadre de sa série « Vermin of New-York », l’artiste s’est vu retirer certaines d’entre-elles par le département des transports, une première depuis le début de son investissement. En effet, le travail de Jim Bachor étant majoritairement optimiste, il a voulu« garder un côté imprévisible, d’où la vermine ». Il a donc reproduit les mosaïques d’un rat mort, un cafard, un bouquet de fleurs, un pigeon et… Donald Trump. Sa démarche, en plus d’être artistique, est un véritable « coup de pouce » au service public : de quoi en rendre plus d’un heureux!