Serge Najjar sublime Beyrouth en offrant une vision de la ville à travers ses bâtiments en ruine, en construction, délabrés et solitaires. Son esthétique est lumineuse, faite de contrastes et formes parfaitement définies, construite sur des géométries, des ombres et des couleurs vives, méditerranéennes. À travers ses photographies, ils transporte le spectateur dans un monde suspendu, irréel, où les architectures deviennent les trames et les imprimés d’un tissu, comme si elles étaient des immenses pièces décoratives.