Avec sa série Inframen, le photographe Niri Arieli nous dévoile des corps de danseurs de ballet, ainsi que leurs imperfections. Avec cette utilisation de l’infrarouge, l’artiste new-yorkais fait ressortir certaines marques et cicatrices. Des clichés magnifiques, à découvrir dans la suite de l’article.

« Inframen » sera présentée à la Daniel Cooney Fine Art gallery du 16 janvier jusqu’au 8 mars.