Tout comme ces montagnes et ces roches, la grande valeur de chacun est inamovible. Tout comme la brume, elle peut s’abandonner au regard de l’autre pour disparaitre du champ de vision. Le jugement de l’un envers autrui est une nappe de brume sur une montagne : une opinion passagère sur une route sans virages à la préciosité sure et unique, comme chaque être vivant.
Sylkho est une série de paysage de brumes où la paix de l’homme n’existe que par son absence.