On s’apitoie plus facilement sur les chiens des SDF que sur eux-mêmes. 
C’est en partant de ce constat que j’ai photographié  des
 SDF et remplacé leurs têtes par celles de leurs chiens.
 L’indifférence laisse alors la place à l’interpellation. 
Pour aller au bout de la démarche , j’ai réalisé des tirages 4mX3m que j’ai installés sur des murs de Rennes.  Raphaël Auvray  
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