Santiago est la dernière étape en date de l’odyssée photographique d’Omar Robles. Après avoir notamment parcouru les rues de Cuba, Porto Rico et Hong Kong, le photographe a éphémèrement élu résidence dans la capitale chilienne, où il a repris son habitude d’inviter les danseurs locaux. Ainsi, il fait coïncider la grâce de ses protagonistes avec l’architecture de la ville, dans un pays où, fut un temps, la photographie était censurée dans les médias.