Le photographe Mark Sommerfeld, basé à Toronto, semble être de la trempe de ceux qui savent identifier, au cours d’une balade anodine, une lumière, un visage, une poésie sous-jacente, avant de l’immortaliser. Prolifique à souhait, Sommerfeld alimente couramment son carnet de bord avec des clichés de visages d’inconnus, d’un reflet ou d’une vieille voiture garée dans un parking. Et la maîtrise est telle que même un objet d’apparence inanimé semble avoir une multitude d’histoires à raconter.