Adobe Stock continue d’enrichir sa collection Premium en invitant 5 photographes français reconnus dans les milieux de l’art et de la publicité. Vincent Bousserez, Léo Caillard, Julie de Waroquier, Benoit Lapray et Benjamin Taguemount font partie des regards artistiques séletionnés pour leur regard et leur parti pris sur la société. Ils ont ainsi produit pour Adobe Stock des visuels inédits destinés à rejoindre la collection Adobe Stock Premium qui veut renouveler le genre de la banque d’images.  

Cette collection Premium disponible sur Adobe Stock présente des images minutieusement sélectionnées par des photographes et agences parmi les meilleurs au monde. C’est ainsi que les 5 photographes français ont été choisis avec la même exigence de qualité et d’éléments narratifs.

Le mois denier la Galerie Fisheye accueillait cette série de photographies inédites pendant une semaine. L’exposition Métaphores se poursuit en Arles à l’occasion du festival international de photographie Les Rencontres d’Arles avec les partenaires leclubdesad et fisheyemagazineRendez-vous du 3 au 9 juillet, au Garage de l’hôtel Nord-Pinus (13 rue du Docteur Fanton) et du 17 au 23 juillet, au lieu-dit Le Magasin de Jouet (19 rue Jouvène). L’occasion de découvrir ou redécouvrir une série de photographies réalisées exclusivement pour Adobe Stock par ces contributeurs d’exception que nous vous présentons ci-dessous. 

Vincent Bousserez : Nostalgies 

« Pour ma série Nostalgies, j’ai photographié les jouets de notre enfance en inventant leur mise en situation dans des paysages réels. J’ai alors envisagé lumière et chromie de chaque prise de vue autour d’une esthétique et d’une ambiance communes, pour que l’objet trouve une résonnance dans l’esprit des gens. »

Benoit Lapray : Illuminati

«Pour cette mini série de 3 images j’ai choisi l’univers publicitaire des « Télécoms ». Le côté « communication » est un aspect qui me tient de plus en plus à coeur de mettre en avant dans mon travail photographique, voilà pourquoi je souhaite travailler ce thème là.»

Julie de Waroquier : L’échappée belle

« J’ai choisi de travailler sur un objet à priori non poétique et loin de mon univers onirique afin de jouer à l’y transposer. J’ai sélectionné le vélo, car cet accessoire est quasi systématiquement présenté dans des publicités sportives, mettant en avant les performances mécaniques ou physiques du matériel. Mon projet est donc de détourner cette connotation en créant trois images dans lesquelles le vélo n’apparaît plus comme un accessoire de sport mais comme un support d’évasion du réel. »

Léo Caillard : Hipsters in Stone 

« La temporalité Passé / Présent est au coeur de mon approche. En habillant les statues, je pose la question de la force du vêtement, de la représentation de soi, et des codes sociaux qui nous constituent. Une fois habillée, la statue perd son aspect iconique pour redevenir un individu de notre temps. »

 Benjamin Taguemont : For the beyond

« L’usage de la poudre permet de rendre visible l’invisible et de proposer une interprétation chorégraphique personnelle. Le geste qui se fait, avec cette technique, plus aérien, gagne aussi paradoxalement en explosivité. »