Une fois vidés, certains lieux sont emplis d’une atmosphère diamétralement opposée à celle que l’on peut constater en journée. Le métro fait partie de ceux-ci. Avec leurs détails architecturaux, leurs jeux de lumières et leurs rampes à perte de vue, les stations deviennent le théâtre d’un spectacle géométrique intéressant.

Chez le photographe hongrois Zsolt Hlinka, adepte des plans calculés au millimètre, et mettant l’accent sur la répétition des formes et la symétrie, le métro de Budapest impressionne soudainement par ses lignes et l’étrange sensation de vide qu’il procure. Un projet intitulé Underground Symmetry, dont vous pouvez profiter ci-dessous.